1. Obtenir un bilan capillaire précis
Avant même d'établir un devis, l'équipe médiale de la clinique sollicitée doit établir un diagnostic complet. Pour ce faire, une série de photo devra être envoyée, éventuellement accompagnée de vidéos. Ces éléments permettront alors à l'équipe médicale de déterminer le stade de calvitie, d'analyser la densité de la zone donneuse et de projeter le nombre de greffons à prélever.
En Turquie, il n'est pas rare que les devis soient réalisés sans examen préalable de photos et sans bilan précis. Bien souvent, le nombre de greffons est surévalué pour laisser penser à un résultat final parfaitement dense.
Mais attention, car une surexploitation de la zone donneuse peut causer des dommages irréversibles (cicatrices visibles, trous à l'arrière du crâne, impossibilité de refaire une greffe…)
2. S'assurer de l'expérience du praticien en charge de l'intervention
En Europe, une greffe de cheveux est obligatoirement réalisée par un médecin diplômé. En Turquie, il est fréquent que l'intervention soit confiée à des assistants ou à des techniciens sans qualification médicale. Il est donc essentiel de demander qui réalisera votre greffe de cheveux et quel est son niveau d'expertise. Ces informations sont légitimes et doivent être communiquées en toute transparence aux patients en amont des interventions.
3. S'assurer d'un suivi post-opératoire rigoureux
Le respect des consignes post-opératoires et le suivi personnalisé sont les deux clés de réussite de l'intervention.
Rappelons qu'il faut environ 12 mois pour obtenir un résultat optimal, il est donc tout à fait normal d'avoir des questions et de ressentir le besoin d'échanger sur le processus de repousse afin d'être rassuré. De plus, toutes les étapes doivent être contrôlées par l'équipe médicale, à l'aide de photo et de vidéos, afin de valider ou non le processus de repousse des cheveux.
Aussi, il est donc capital de choisir une clinique qui garantira un suivi personnalisé tout au long du processus de repousse.